France: Un congolais tue son compatriote pour une raison inconnue


Un congolais tue son compatriote pour une raison inconnue Dimanche dernier, le congolais Coco Chita Kabango, 39 ans, est décédé des suites des blessures d’un coup de couteau reçu dans le bas du ventre. C’était dans le quartier de la Madeleine à Évreux en France. C’est à l’hôpital de Clamart (Hauts-de-Seine) où il a été conduit qu’il a rendu l’âme.
Fidèle N’Dambi, un Congolais de 38 ans, a été tout de suite interpellé, parce qu’il ne faisait aucun doute qu’il est l’auteur présumé du coup de couteau. Il est présenté au parquet d’Evreux et est actuellement en examen par un juge d’instruction pour « homicide volontaire ». Fidèle N’Dambi est placé en détention provisoire par le juge.
Ce qui est paradoxale dans cette affaire est que Fidèle N’Dambi et sa victime sont jusque-là de très bons amis. Ils allaient prier ensemble à l’église évangélique Rama, à Nétreville. Le meurtrier présumé était photographe et avait occupé dernièrement un poste d’agent en assemblage de pièces chez Peugeot. La justice estime que des conflits liés au couple seraient à l’origine de ces violences.
Plusieurs sources du voisinage indiquent qu’une altercation avait eu lieu entre Fidèle N’Dambi et sa compagne le matin du meurtre. Mais qu’est-ce qui peut expliquer l’assassinat de Coco Chita par Fidèle. C’est là que se repose toute la question. La police s’est déplacé sur les lieux et a fait des constats dans l’appartement. La victime qui habitait également dans le quartier de la Madeleine avec sa compagne et ses enfants s’est rendue seule dans l’appartement du tueur et de sa famille suite aux disputes.
Pourquoi il y est allé ? C’est ce qui reste à vérifier. Mais ce que l’on sait est que c’est suite à ce déplacement que l’auteur du coup de couteau s’est disputé avec lui dans la rue, avant de lui asséner le coup. Alors que la justice cherche à comprendre ce qui s’est passé, Fidèle est resté très évasif lors de sa garde à vue et a tenté de minimiser les faits, avant de se murer dans le silence. Il a eu le courage de tuer sont ami mais n’a plus ce même courage pour parler devant le juge d’instruction. Il pourra quand même en parler en détention lors qu’il sera condamné pour homicide volontaire.
C’est dans ce square que la victime a été retrouvée

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