De source proche de ce dossier et au sein même du parquet de la cité à Paris, nous apprenons qu’une plainte aurait été déposée ce vendredi 27 septembre 2013 au Tribunal de Paris contre les artistes musiciens congolais suivant : Monsieur Noël Ngiama Makanda et Monsieur Jean-Bedel Mpiana Wa Tshituka.
Les chefs d’accusation retenus seraient : traites d’êtres humains, usage de faux documents, dissimulation de travail et proxénétisme aggravé…
Un appel à témoins a même été lancé par le groupe de plaignants en question – des associations congolaises installées en Europe et se revendiquant par le terme “combattants”.. – afin de retrouver toutes les personnes victimes et/ou ayant participer de près ou de loin aux actions reprochées en RDC, en Europe et aux USA (affaires ngulus)…
Nous devons faire des sorte que tout musicien congolais doit éduquer la masse. Conscientiser notre peuple afin de faire comprendre ce qui se passe dans notre pays…Mais malheureusement ils ce sont mis dans plusieurs trafics pour s’enrichir illicitement. Nos musiciens légendaires baignent de plus en plus dans la vulgarité.
Dans le spectacle donné par nos musiciens en Europe, on se croirait à Sodome ou à Gomorrhe. Des jeunes gens sont prêts à tout pour décrocher la timbale. Des séances de Kamasutra se font en live pour satisfaire la libido de quelques clients dévergondés et aux yeux pétillants de perversion débordante. De quoi susciter une séance d’exorcisme.
Dans le spectacle donné par nos musiciens en Europe, on se croirait à Sodome ou à Gomorrhe. Des jeunes gens sont prêts à tout pour décrocher la timbale. Des séances de Kamasutra se font en live pour satisfaire la libido de quelques clients dévergondés et aux yeux pétillants de perversion débordante. De quoi susciter une séance d’exorcisme.
Aujourd’hui, le mal a pris de l’ampleur chez ces soit-disant ambassadeurs de la culture Kongo. Les night clubs et les salons VIP en prolifération dans la capitale et en occident viennent de prendre le relais avec des séances de coït publics qui attirent plusieurs spectateurs.
Ces salons VIP qui regorgent de proxénètes sont fréquentés par des pédophiles discrets qui y passent le plus clair de leur temps.
Hauts lieux de débauche, ils attirent les jeunes filles qui espèrent y trouver des adultes vicieux qui usent de leurs atouts financiers pour fuir l’accoutumance conjugale. La pénombre artificiellement créée favorise des rapports sexuels discrets opérés avec un courage exceptionnel dans un cadre qui exclut la honte et le discrédit.
En ces lieux, la loi Portella est mise entre parenthèses. Seuls comptent : le spectacle, le profit et le plaisir.
Auteur : Richar Lumumba
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